
CHERCHEUR
Chercheur indépendant, Pierre Attlass développe depuis plusieurs années un travail original à la croisée de la théologie, de la kabbale et de l’anthropologie symbolique. Issu d’un parcours parsement de mystères kababalistique et historique, il a peu à peu réorienté sa démarche vers une exploration profonde des structures ésotériques des textes sacrés.
Son travail s’appuie notamment sur la redécouverte d’une structure cachée dans la Torah, parfois désignée comme une "deuxième Torah", qui offre une nouvelle compréhension de l’histoire des religions et de la transmission du savoir sacré. À travers l’étude des sept niveaux de lecture issus de la tradition, dont certains n’ont été révélés que très récemment, il propose une lecture cohérente et rigoureuse des fondements spirituels de l’humanité.

En reliant les systèmes symboliques des textes religieux à l’évolution de la pensée humaine depuis les premières formes de chamanisme jusqu’à l’écriture, il développe une vision transversale des origines du langage sacré, des mythes et des représentations rituelles.
Son approche transdisciplinaire, entre théologie, kabbale, anthropologie, archéologie, histoire des religions et linguistique, vise à éclairer les liens profonds entre spiritualité, cosmologie et émergence de la conscience humaine. Ce travail s’adresse aux chercheurs, aux institutions scientifiques et aux curieux désireux d’explorer une voie nouvelle dans la compréhension des récits fondateurs de Homo sapiens.



Aux origines préhistoriques
de la Torah, de l’Évangile, du Coran
et de la Kabbale Rabbinique
Ces recherches se concentrent initialement sur la résolution de trois mystères issus de la tradition rabbinique, révélés à partir de 1991, et sur leur lien avec les traditions datant des sociétés anciennes préhistoriques. Ce projet de recherches, apporter une contribution significative à la compréhension des liens entre savoirs anciens et modernes, et à la manière dont ces traditions ont façonné les sociétés humaines.

Ce projet repose sur une hypothèse kabbalistique articulée autour de trois énigmes kabbalistiques majeures, que la tradition rabbinique avait pour principe de dissimuler et de transmettre uniquement de maître à élève jusqu’en 1991.

En 1991, le rabbinisme identifie la lecture quadruple
comme unique interprétation complète des textes religieux.
En 2018, le Rav Ménaché révèle le cinquième niveau,
approfondissant la dimension structurelle des Textes Sacrées.
En 2021, l’école de kabbale israélienne "Académie Bnei Baruch"
annonce recherchée la séquence numérique « perdu » de la Torah.
Ces trois mystères contribuent à l’élaboration d’un système rédactionnel fondé sur sept niveaux de lecture, ayant évolué au fil des époques.
Dans la mesure où cette thèse, bien qu’adossée à des traditions ésotériques, retrouve une cohérence profonde avec l’histoire de l’humanité, il devient aujourd’hui possible de proposer une explication rigoureuse de la conception et des méthodes ayant conduit à l’élaboration de la Bible..


Initialement ancrée dans une perspective kabbalistique, cette thèse kabbalistique de travail s’inscrit dans une démarche bien plus ancienne.
lle étudie les liens profonds entre la préhistoire, la mythologie et la théologie, tout en s’appuyant sur des découvertes anthropologiques et archéologiques pour éclairer la genèse et l’évolution des traditions spirituelles.

Après avoir expliquer cette thèse, Pierre Attlass poursuit l’etude de cette dernière comme une résurgence des savoirs anciens, dévoilant les structures des textes religieux et leur impact sur l’évolution des pensées humaines.
Cette recherche ambitieuse élabore un syncrétisme, reliant diverses disciplines pour rendre intelligibles les systèmes symboliques et allégoriques qui ont façonné les sociétés humaines.

À travers ses écrits et les enseignements, il transmet étape par étape depuis 2020, les clés de compréhension des 7 lectures sacrées.
L'étude de chacune d'elles reposant sur une structure précise ne permet plus l'interprétation théosophique systématique des textes.
Les lectures analytique symbolique allégorique et métaphorique du "SOD" sont expliquées clairement, simplement et logiquement.