

MYTHES LOGIQUES

Le troisième livre, axé sur le séquençage kabbalistique, met en lumière une logique mathématique précise qui sous-tend la structure des textes. Cette approche garantit à la fois l’hermétisme des textes sacrées, mais aussi leur cohérence avec d’autres enseignements transmis à travers les âges.

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Lecture CÉLESTE
Alphabet et la Guématrie
PIERRES DE ROSETTE
Le séquençage
Lecture TERRESTRE
Les origines des Lectures
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Malgré les points communs et les contradictions flagrantes entre la mythologie et la religion, il est actuellement impossible de comprendre leurs liens et les raisons de leurs oppositions. Alors que le langage religieux est basé sur 7 niveaux de lecture, les mythes ont aussi une origine structurelle. La lecture quadruple forme les quatre premiers niveaux de la lecture terrestre. Le cinquième niveau concerne les structures données par les artefacts de la tradition rabbinique. Les mathématiques forment les deux derniers niveaux de la lecture céleste.
Après avoir expliqué plusieurs principes de conception des textes sacrés, intégrant les premières lectures et un procédé d’intrication, ce troisième livre achèvera d’expliquer la sixième et dernière lecture ainsi que la manière dont ces lectures ont été exploitées au fur et à mesure de l’histoire de l’humanité.
Après avoir donné des dizaines d'explications quadruples appliquées, après avoir expliqué l’intrication permettant d’atteindre l’éternité et la divinité, après avoir introduit le principe de numérisation et diverses expansions types, cette dernière partie de thèse a pour objectif de donner à tous hommes et femmes les moyens de comprendre les traditions de ces derniers millénaires.
Nous expliquerons les différentes manières dont les artefacts ont été utilisés. L'analyse du chandelier ménorah se révélera être utilisée comme un créateur d'histoire. À partir de la sixième lecture, nous révélerons comment ce chandelier est conçu pour proposer des numérisations de type vectoriel. Puis, par la septième lecture, nous tâcherons d’expliquer comment, à partir de ce procédé de numérisation, on bascule logiquement vers une lecture séquentielle de type calcul modulaire. En utilisant une guématrie à double valeur de l’alphabet hébreu, nous verrons donc ce calcul modulaire être doublé.
Cette double séquence a la faculté d’expliquer, comme une pierre de Rosette en son temps, comment d’une rédaction mythologique, le texte biblique a pu s’étoffer de manière beaucoup plus technique avec un langage basé sur le principe des mathématiques encore plus abouti. . .
